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Les politiques du deficit

Les politiques du déficit

 

Au Québec, il y a toujours eu un surplus de revenu avant 1976. Depuis lors, soit les 40 dernières années, la province rejoint Terre-Neuve au niveau du chômage et elle fait partie des provinces à déficit budgétaire. Ouvrez les yeux et repartez l'économie ! C'est une question de survie politi- que. Que le meilleur gagne... On apprend toujours de ses propres erreurs. C'est cela l'évolution. L'objectif: anéantir le déficit. Les lexicologues d'ici s'entendent pour dire que le système d'édu- cation a pris une «débarque». Le pays le plus puissant au monde est notre voisin. C'est évident qu'il faut s'adapter aux fluctuations du Nord de l'Amérique et aux fluctuations mondiales.

 

 

Quand il s’agit d’études portant sur le développement de certaines capitales, les futurologues (scientifiques du futur) ne craignent pas d’anticiper d’une centaine d’années sur le présent. La prospection du futur est aujourd’hui un besoin vital de l’humanité. Sans elle nous n’aurions guère de chance de déchiffrer les énigmes du passé, ni ce qui voile notre avenir. Nous connaissons le présent, ça c’est certain ! Les gouvernements et les grandes industries ne peuvent plus se pas- ser, à l’heure actuelle, des services de ces prospecteurs de l’avenir. L’état doit prévoir aujourd’hui les situations politiques ou militaires à venir. Les grandes entreprises doivent programmer leurs investissements des dizaines d’années à l’avance. Tout est pensé par ces savants futurologues. Nous, nous pouvons penser seulement à notre personne, notre moi, notre famille, à construire

 

 

notre sécurité financière. Nous nous devons d’évoluer à tous les niveaux pour être prêt à tout éventuel changement. Nous devons nous préparer en nous rendant certain que la ligne de dé- part de la compétition qui vient nous comptera parmi le nombre des partants qualifiés à la dite aventure de la vie, NOTRE VIE. Qu’en faisons-nous ? La vie est un éternel recommencement... une roue qui tourne, un cycle, un jour à la fois. La boucle se referme et l’avenir est toujours là, à notre portée. Santé d’abord. Bienvenue à bord du trans... de la vie économique et écologique.

 

 

Au Moyen-Âge, le «pion», gens ordinaire, paysan de l’époque, avait à payer des taxes aux collecteurs de taxes qui en retour remettaient le butin au roi. De nos jours, ça n’a pas vrai- ment changé. Les titres sont différents mais les méthodes sont identiques. Les politiciens se prennent pour les rois d’aujourd’hui... S’ils taxent continuellement en coupant ou en rédui- sant l’assistance sociale et ses programmes et ne créent pas plus d’emplois, où donc vont-ils prendre leur argent pour supporter les programmes d’assistance sociale ? et le chômage ?

Tous les pays industrialisés doivent, semble-t-il des milliards de dollars à la Banque Mondiale ou Fond Monétaire International (FMI). C'est une histoire compliquée et réelle, mais non sans issue...

Question : Quelle est cette banque mondiale ? Où prend-elle son argent ? De la banque inter-continentale ? Où est situé le bureau d’affaires, sur Wall Street, New York ? En Suisse? Que faut-il espérer du «G8» (groupement des 8 pays les plus industrialisés): Un gouvernement mondial?

Réponse : C’est à vous de jouer. Moi, je ne possède aucune réponse. Je sais par contre que

tout pays est limité par sa cote de crédit et qu’il faut s’en sortir, pour autant que nous sommes des individus vivants dans le système de la libre entreprise, grâce à l’avant-gardiste nerworking écolo. Avis aux intéressés ! (Communiquez avec l'auteur)

...Réussir et devenir de plus en plus riche est le «motus operendi» d’un pourcentage de la popu- lation mondiale favorisée grandissante et qui attire les foules des plus démunis avec l’espoir qu’un jour...ce sera leur tour! Du moins, les gens rêvent à l'aisance financière. Par exemple, aux États-Unis il y a 40 millions de millionnaires.

Il y a une chose que je sais pourtant c’est que la personne se portant le mieux de nos jours, c’est celle qui ne contracte aucune dette personnelle. Cela a toujours été la solution au bien-être et au confort. Si les politiciens écoutaient le peuple, le monde serait dans une bien meilleure situation. Les politiques d’aujourd’hui ne sont qu’une question de pouvoir. Non pas qui est le plus riche ou le plus intelligent mais qui ou quel parti est au pouvoir. Est-ce que la démocratie existe vrai- ment? Nous pouvons transposer cela en posant la question : «Qui chante le mieux la pomme ?» Laissons les bons politiciens, ceux qui font bien leur travail, mener la barque à bon port. Le monde moderne est multi-ethnique. Créons ensemble l'harmonie de notre pays dans l'amour, sinon c'est la déchéance et la misère humaine. N'oublions pas que le Canada jouit de la plus belle qualité de vie au monde... Voyez-vous, un peuple uni est la base du succès de tout pays riche et la plus fragile richesse est la liberté.. Chaque province se doit de budgéter avec équilibre comme l'Alberta. Ayons sa vision à l'unanimité. Il faut décentraliser le pouvoir fédéral vers les provinces (genre union européenne) : «Rendre à César ce qui appartient à César». Le temps des Patriotes, s'il était révolu, serait sans violence, dans un monde moderne en constante évolution; c'est de l'histoire ancienne et non l'Ancienne Sagesse d'aujourd'hui et de demain.

 

Le Club Optimiste Québécois ne se compose pas uniquement de québécois français ou anglais. Désormais, il rallie toutes les nationalités. Soyons-en fiers... L'amour et l'harmonie entre les races du monde qui habitent le territoire québécois est la seule ébauche de survie du sol québécois. Actuellement, le Canada est notre meilleure garantie. La mentalité québécoise est

vingt années derrière le reste du monde. On le peut pas être comme le Chili, ni aucun pays dictatorial, de toute façon. Prenons vingt ans pour construire et réorganiser l'économie québécoise et après, on verra. Lorsque le chômage est nul et que tous travaillent: c'est la joie. Mais pas quand le chômage est presque ā 10%. Voyons les amis!

Les politiciens sont, pour la majorité, tous pareils aujourd’hui. Afin de se faire élire ils nous font croire qu'ils détiennent la clé du mieux-être collectif. Ils font des promesses et rien ne change sauf le niveau toujours croissant des taxes et quoi encore ? Il est vrai qu’il y a de bonnes déci- sions qui sont prises, elles sont rares... Ils agissent souvent dans l'espoir de gagner des votes. Nombreux sont ceux qui espèrent voir à ce que leur pension soit effective à l’âge de la retraite, soit à 60 ans et non pas après deux mandats en moyenne de 4 ans. Voilà un problème qui embrouille les cartes des écologistes. Ils commencent à peine à bouger face aux dossiers écologiques qu’ils doivent céder leur place à un nouveau venu politisé qui a son tour prend encore 4 ans disons pour agir comme son prédécesseur. C’est le cercle vicieux actuel côté lenteur écologique-réactionnaire-gouvernemental. J’appelle ce dilemme, mettre le bâton dans les roues de l’éminent écologiste qui ne voit rien de concret se passer et le temps s’écoule lui. Votre voie mondiale actuelle est pressante messieurs de la politique. Ce ne sont pas les kilo- mètres qui font un pays mais bien les quinze centimètres entre les deux oreilles de ses habitants comme de tous les élus. Les banques canadiennes devraient investir avec leurs miliards de profits annuels dans l'emploi et l'écologie. Elles ont les moyens... mais en ont-elles le courage? Restons un pays uni. Notre force est un exemple mondial. Gardons-nous des requins et des vautours du pouvoir national qui n'attendent que notre séparation pour s'approprier notre sol en leurs noms et faire des affaires d'or. C'est une illusion. Renforçons nos liens interculturels, notre salut à tous.

Le temps est à l'équilibre économique, amis de la liberté. Lorsque le taux de chômage sera presque inexistant, nous pourrons prendre des décisions éclairées. Avant cette époque, il y a une clôche qui invite à la réconciliation avec le temps car, comme le disait si bien Benjamin Franklin (celui qui a découvert l'électricité): «Le temps, c'est de l'argent». C'est encore d'actua- lité.

NOTE : Si tous les adeptes du marché noir déclaraient leurs revenus, la dette nationale serait presque inexistante ou ne serait que poussière. Actuellement le marché noir véhicule

au Canada seulement quelques 7 milliards de dollars par province. On expulse ce que l’on absorbe (loin d’être scatophile ici). C’est une loi naturelle inévitable chez tout être vivant. Mais pourtant on garde et on se nourrit de ce qui est bon pour le système et pour notre confort douillet, au risque d’être pris la main dans le sac de la contrebande illicite, illégale. Un voleur, en commettant son crime, se vole toujours lui-même, c’est connu. Car, capturé, il perd sa liberté parce que ses talents sont dans la mauvaise direction.

« En politique, l’argent est la réponse à presque tous les problèmes.»

Edward Greenspon

Reporter au Globe and Mail

 

 

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