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La respiration sphérique et le souvenir de ce qu’est le Mer-Ka-Ba

La respiration  sphérique et le souvenir  de ce qu’est le Mer-Ka-Ba

Comme le soleil, nous devons respirer et irradier notre lumière tout au tour de nous, et c’est de la vie même que nous recevons notre manne.

 

   Aménagez  d’abord un coin privé chez vous que vous réserverez pour cette méditation.

Assurez-vous que personne ne vous importune durant votre méditation, que ce soit en ouvrant la porte, en traversant la pièce, en utilisant le téléphone, ou de toute autre de manière. Choisissez par exemple un coin de votre chambre à coucher et installez-y un petit autel sur lequel vous placerez une bougie  et d’autres objets que vous jugez sacrés, très significatifs et inspirants. Si vous avez encore la souplesse nécessaire, vous pouvez vous asseoir en tailleur à même le sol (position du lotus) : si non, prenez place sur un coussin ou sur une chaise droite, peu importe. Rendez cette endroit saint et sacré pour vous-même et par vous-mêmes, car c’est là que vous allez apprendre à réactiver le Mer-Ka-Ba autour de votre corps et à entrer consciemment en contact avec votre être supérieure.

   Pratiquez cette méditation une fois par jour, jusqu’à ce que vous soyez  devenus conscients de votre respiration (ce qui est facile) en permanence (ce qui est beaucoup plus difficile).

Le but consiste à devenir conscient de votre rapport intime avec Dieu, et ce, avec chaque inspiration et chaque expiration du souffle, c’est-à-dire en permanence.

Et maintenant, veillez lire le supplément n°1

   Pour commencer la méditation, esseyez-vous d’abord dans la position du lotus ou celle de votre choix et relaxez-vous. Vous pouvez prendre place sur une chaise droite. Laissez maintenant tous les ennuis de la journée derrière vous. Respirez en cadence  et assez légèrement tout en vous détendant. Devenez  conscient de chaque souffle et sentez votre corps se relâcher. Dès que la tension  s’efface peu à peu, placez votre attention sur le chakra  christique, à environ un centimètre au dessus du sternum, et ouvrez votre coeur petit à petit. Ressentez de l’amour pour Dieu et pour toute vie, où qu’elle se trouve.

Continuez à respirer avec rythme (les temps d’inspiration et d’expiration du souffle étant égaux) en restant conscient de votre respiration et ressentez l’amour qui imprègne votre conscience.

Quand ce sentiment est fermement ancré en vous, vous êtes prêt pour l’expérience du Mer-Ka-Ba. Le degré de votre capacité de faire l’expérience du Mer-Ka-Ba vivant.

 

Supplément n° 1 :

 Si vous n’êtes pas arrivés récemment d’une autre partie de l’univers, vous vous êtes probablement réincarnés sur la terre à plusieurs reprises depuis ces derniers13 000 ans et votre Mer-Ka-Ba est probablement  resté inactif tout ce temps. Cela fait donc très longtemps que votre corps n’a pas ressenti cette expérience. La pratique de ce mode de respiration particulier va donc avoir pour effet de réactiver le Mer-Ka-Ba

Tout autour de vous. C’est un peu comme si on recommençait à faire tourner une toupie ; au début, tout  va bien parce qu’elle est bien lancée et qu’elle se tient bien droite, mais on doit la relancer de temps en temps pour qu’elle ne s’arrête jamais plus. Eh bien, c’est la même chose avec votre Mer-Ka-Ba, mais dans ce cas, les réactivations appuyées (une fois  toutes les vingt-quatre à quarante huit heures au maximum soit une fois par jour pour être plus sûr)  ne devront pas être répétées éternellement. Il viendra un temps où  le Mer-Ka-Ba continuera de rester en vie sans votre aide, mais parvenir à ce stade prend du temps. En effet, le Mer-Ka-Ba ne devient «permanent » que lorsque la personne en question est consciente de son souffle en permanence. Celle qui y est arrivée a toutes les chances d’avoir un Mer-Ka-Ba permanent autour d’elle. Clarifions donc en disant que la pratique journalière de la méthode qui va suivre est destinée à vous amener à créer un champ Mer-Ka-Ba bien vivant tout autour de votre corps physique, ce que vous pourrez un jour cesser de faire, car vous serez alors parvenus à la respiration Mer-Ka-Ba consciente en permanence. Si vous vous arrêtez de pratiquer la méditation Mer-Ka-Ba avant d’être devenus conscients en permanente de votre respiration Mer-Ka-Ba, vous aurez à faire face à quelques problèmes. Il se peut donc que votre ego vous encourage à mettre un terme à votre pratique quotidienne en vous susurrant à l’oreille : « Ah, maintenant, je suis sûr que mon Mer-Ka-Ba est permanent ! » alors qu’en  fait, il ne l’est pas du tout. Si vous suivez l’élan de votre ego, votre Mer-Ka-Ba cessera de vivre ( de tournoyer autour de vous) après 47 ou 48 heures sans réactivation consciente de votre part. Comment savoir si votre Mer-Ka-Ba est permanent ou non ?

 

C’est très difficile à déterminer, surtout au début de votre pratique, parce que les énergies du Mer-Ka-Ba sont très subtiles. Si vous avez pratiquez la méditation pendant plus d’un an et que vous êtes sûrs d’être conscients de votre souffle Mer-Ka-Ba de nombreuses fois par jour, alors il est pour ainsi dire certain que votre Mer-Ka-Ba est devenu permanent. Si vous êtes en contact avec votre être intérieur et que vous n’êtes pas sûrs d’avoir atteint ce stade, demandez-le-lui. Mais une chose reste certaine : si vous cessez votre méditation Mer-Ka-Ba et en oubliez jusqu’à son existence pendant plusieurs jours d’affilée, vous devrez tout recommencer depuis le début. Ce n’est que lorsque vous êtes devenu  conscients en permanence de votre Mer-Ka-Ba que votre Mer-Ka-Ba lui-même sera devenu permanent tout autour de vous,

Aperçu général sur la méditation

 

 La méditation tout entière consiste en 17 souffles* complets (une inspiration et une expiration constituant un souffle). Les six premiers souffles (c’est-à-dire les six premières inspirations et expirations) servent à rééquilibrer les polarités au sein des huit circuits électriques et à bien les nettoyer. Les sept souffles suivants sont très différents en ce sens qu’ils servent à rétablir le mouvement du prana à travers votre système de chakras

Et à instaurer ce que nous appelons la respiration sphérique au sein du corps physique. Le 14e souffle est unique, car il rétablit l’équilibre de l’énergie pranique dans votre corps, depuis le niveau de conscience de la troisième dimension jusqu’à celui de la quatrième dimension. Les trois derniers souffles sont utilisés pour recréer le Mer-Ka-Ba grâce à deux champs électromagnétiques en forme d’étoile tétraédrique qui tournent sur le même axe, mais à l’opposer l’un de l’autre, ceci à une certaine vitesse et selon un certain rapport.

 

Première partie : les six premiers souffles

 

Les instructions qui vont suivre se rapportent à votre coeur, à votre esprit, à votre corps et à votre souffle.

 

 

PREMIER SOUFFLE : inspiration

 

   Votre cœur : Ouvrer-le tout grand et ressentez de l’amour  pour toute vie. Si vous ne pouvez  y arriver,  vous devez au moins vous ouvrir à cet amour dans toute la mesure du possible. C’est l’instruction la plus importante de cette méditation.

 

Votre esprit : Devenez conscient du tétraèdre du Soleil (mâle; celui qui pointe vers le haut, vers le Soleil), dont une arête fait face à l’observateur s’il s’agit d’un homme, ou se trouve dans son dos s’il s’agit d’une femme. Visualisez ce tétraèdre  du Soleil comme étant rempli d’une lumière blanche resplendissante qui entoure complètement votre corps. (Cette couleur blanche aveuglante est celle de l’éclair dans le ciel, pendant un orage. En fait,  ce n’est pas seulement la couleur de l’éclair, c'est également son énergie) Visualisez cette forme géométrique  au mieux de vos capacités. Si vous en êtes incapables, sentez et sachez qu’il en est ainsi et que cette réalité est tout autour de vous Sentez le tétraèdre du Soleil rempli de cette énergie lumineuse. (Veuillez lire le supplément n° 2)

 

Supplément n° 2 :

 Vous allez maintenant avoir besoin d’une petite étoile tétraédrique à huit branches pour pouvoir l’observer à votre aise. Réalisez que chaque côté du tétraèdre en étoile représente la longueur de vos bras écartés au maximum, d’une extrémité du majeur à l’autre (ou la hauteur de votre taille, si vous préférez).

L’étoile tétraédrique vous circonscrit donc complètement. Si vous êtes seuls, reproduisez le triangle de votre tétraèdre pointe en haut sur le sol en y épinglant un morceau de corde ou en la faisant tenir en place avec un ruban adhésif, et mettez-vous au centre. Cela vous aidera à bien visualiser le volume de votre tétraèdre tout autour   de vous. Au cours de l’atelier  Fleur de vie, quatre personnes sont souvent nécessaires pour maintenir ensemble les longueurs de corde au quatre pointes, ce qui permet à l’étudiant qui se tient au milieu de se rendre exactement compte de la taille, du volume et de la présence du tétraèdre autour de lui.

 

Autre point important. Quand vous visualisez vos tétraèdres (il y en a deux, qui sont imbriqués l’un dans l’autre et forment une étoile tétraédrique à huit branches),  ne les voyez pas en dehors de vous. Voyez-vous plutôt vous-mêmes au centre exact de cette forme et contemplez le monde extérieur depuis l’intérieur de son volume. Ne visualisez pas non plus une petite étoile tétraédrique en face de vous en la contemplant depuis l’extérieur seulement. Cette manière de voir les choses vous ferait perdre contact avec le champ électromagnétique (le Mer-Ka-Ba) qui existe déjà tout autour de vous, et vous seriez incapables de le recréer pour votre conscience objective. Votre esprit a besoin d’entrer en contact avec le vrai champ Mer-Ka-Ba. Et pour cela, vous devez vous voir à l’intérieur même de l’étoile tétraédrique grandeur nature, avec les tétraèdres autour de votre corps.

 

En second lieu, deux choix s’offrent à vous pour reconnecter votre esprit à vos tétraèdres. Certaines personnes peuvent les visualiser ; leur capacité dans ce sens est extraordinaire. D’autres ne peuvent rien voir du tout, mais arrivent à les sentir, et ces deux méthodes sont correctes. La faculté de « voir intérieurement »ou « d’imaginer » appartient au lobe gauche du cerveau, qui est masculin. Par contre, la faculté de «  sentir » ou de ressentir relève du lobe droit féminin. Ces deux approches fonctionnent bien toutes les deux et votre choix est sans grande importance, sinon pour vous-même. Certains adeptes utilisent même les deux lobes en même temps, ce qui est également très bien.

PREMIER SOUFFLE : inspiration (suite)

 

Votre corps : Immédiatement avant l’inspiration du premier souffle, faites le premier mudra en joignant les extrémités du pouce et de l’index de chaque main. Ce qui importe. c’est que les bouts des doigts  déjà nommés se touchent normalement, sans trop appuyer, et que les autres doigts restent naturellement  écartés les uns des autres et ne touchent aucun objets non plus (car de véritables circuits  électriques sont en jeu dans cette méditation, et vous devez  veiller à ne pas les court-circuiter).Les paumes de chaque main sont tournées vers le haut pendant les six premier souffles. (Veuillez vous reportez au supplément n° 3)

 

Supplément n° 3

 Un mudra renvoie  à une position des doigts. Les hindous, aussi bien que les Tibétains, en utilisent beaucoup au cours de leurs pratiques. Chaque mudra met l’individu en contact avec un circuit électrique particulier dans le corps.

 

Comme nous l'avons déjà vu, il existe huit circuits électriques principaux dans le corps humain, et chacun d'eux est relié à une des huit  premières cellules situées à la base de l’épine dorsale. Il m’est difficile de tout expliquer par le menu dans cette colonne, mais disons pour nous résumer qu’il est seulement nécessaire de rééquilibrer et de nettoyer six circuits, et que cela agira automatiquement sur les deux circuits restants (ils seront eux-mêmes rééquilibrés et nettoyés). En fait, le même principe est à l’œuvre avec le système de  localisation GPS (Global Positioning System), grâce auquel on peut obtenir les coordonnées exactes de n’importe quoi sur la surface du globe. Ce système est basé sur le tétraèdre. Si on en connaît seulement trois points, la quatrième coule de source et peut facilement être localisé. Or, si on nettoie et rééquilibre trois circuits électriques représentés par les pointes à la base du tétraèdre,  le quatrième se nettoie et se rééquilibre automatiquement (la   quatrième pointe). Par conséquent, si les six pointes de base des tétraèdres sont nettoyées et rééquilibrées, les deux pointes restantes le seront aussi, à savoir celle qui se trouve à une longueur  de main au dessus de la tête et celle qui est à une longueur de main sous la plante des pieds lorsqu’on se tient debout et bien droit. C’est la raison pour laquelle il n’y a que six souffles rééquilibrants et nettoyants pour les huit circuits dans la méditation  Mer-Ka-Ba.

 

PREMIER SOUFFLE : inspiration (suite)

 

Votre souffle : Au même moment, et alors que vos poumons sont vides, inspirez fermement en comptant mentalement jusqu’à sept (le souffle yogique). Respirez seulement par le nez, sauf aux endroits que nous indiquerons, en commençant par l’estomac  et le diaphragme et en finissant par la poitrine. Tout ceci doit être accompli en un seul mouvement bien coordonné, et non pas en trois parties distinctes. L’expiration

(d’une durée de 7 secondes également) s’effectue, quant à elle, soit en retenant d’abord la poitrine et en relaxant l’estomac alors qu’on expire, soit en retenant d’abord l’estomac et en relaxant la poitrine. Le point le plus important est que le souffle doit devenir rythmique, à savoir que les temps d’inspiration et d’expiration sont les mêmes. Essayez

« la méthode des sept secondes » des Tibétains. Vous inspirez  pendant sept secondes et expirez pendant autant de secondes. C’est en vous familiarisant avec cette méditation que vous finirez par trouver le rythme qui vous convient le mieux. Vos inspirations et vos expirations peuvent être aussi longues que vous le désirez, du moment qu’elles sont de même durées et pas moins de cinq secondes chacune. Si vous avez un problème de santé  ou le souffle très court pour quelque raison, faites au mieux de vos possibilités.

   Les instructions qui vont suivre sont tirées du livre The Science of Breath :A complete Manual of the Oriental Breathing Philosophy of Physical, Mental, Psychic and Spiritual Development, du yogi Ramacharaka (Yoga Publishers Society, 1940). Je souhaite que cette description puisse vous aider.

   Dans cet exercice, vous respirez uniquement par le nez (sinon, faites au mieux). Inspirez  fermement en remplissant d’abord la partie inférieure des poumons, soit en respirant depuis le diaphragme et les muscles de l’abdomen. Continuez votre inspiration alors que diaphragme et l’abdomen parviennent naturellement à leur maximum d’expiration, et laissez la partie moyenne et supérieure des poumons se remplir d’air en ouvrant la cage thoracique et en laissant la poitrine se gonfler au maximum.

   À première vue, on pourrait penser qu’il s’agit de trois mouvements distincts, ce qui est inexacte. Chaque inhalation doit se faire en un mouvement continu et naturel. C’est d’abord le diaphragme et le ventre qui se gonflent, suivis de la cage thoracique tout entière, ceci en est un mouvement uniforme et pour ainsi dire sans effort. Évitez à tout prix de respirer par saccades et de vous efforcer de suivre ces instructions trop à la lettre. Pratiquez naturellement et calmement, et bientôt, votre souffle deviendra uniforme et plus profond que d’habitude. Avec un peu de pratique, vous parviendrez aisément à inspirer et à expirer profondément et de manière rythmique.

   Pendant  l’exhalation, maintenez la poitrine dans sa position et rentrez légèrement le ventre en le soulevant un peu vers le haut alors que  vous expirez.

(Note de l’auteur : Quelques instructeurs demandent à leurs étudiants de faire le contraire, soit de maintenir l’abdomen dans la même position et de rentrer le poitrine avant l’abdomen au moment de l’expiration. Toutefois, la plupart des instructeurs utilisent comme moi la première méthode. En réalité, l’une ou l’autre fera l’affaire.) Relaxez la poitrine et l’abdomen  en fin de souffle. Avec de la pratique, vous parviendrez aisément  et presque automatiquement  au rythme  et à la profondeur de souffle nécessaires.

 

Premier souffle        : expiration

 

 

Votre cœur : de l’amour.

Votre esprit : Soyez conscients du tétraèdre de la Terre, dont la pointe est dirigée vers le bas. Pour l’homme, l’arête est située derrière lui et la face plate, devant. Pour la femme, l’arête est devant elle et la face plate, derrière elle. Visualisez ou sentez que ce tétraèdre est rempli d’une lumière blanche resplendissante.

Votre corps : Conservez le même mudra.

Votre souffle : Maintenant que vous êtes parvenus au maximum de votre inspiration en comptant intérieurement jusqu’à sept, expirez sans hésiter et d’une manière continue pendant sept secondes également, à la manière du yogi. Quand il n’y a plus d’air dans vos poumons, relâchez la poitrine et l’abdomen sans forcer et retenez votre souffle. Quand vous ressentez un désir de plus en plus pressant de respirer à nouveau, généralement après cinq secondes et plus, faites alors ce qui suit.

Votre esprit : Prenez conscience de la base plate en forme de triangle équilatéral de votre tétraèdre de la Terre, situé au bas de la poitrine, à sept centimètres environ en dessous du chakra christique (voir le canon humain selon Vitruvius dans le tome 1, juste avant la préface ). Faites descendre cette base plate triangulaire  à l’intérieur du tétraèdre de la Terre en une pulsation d’énergie vers le bas. Elle se conformera à la forme du rétraèdre (diminuant en surface) en descendant à l’intérieur de celui-ci, poussant devant elle toute l’énergie du circuit électrique impliquer par le mudra et l’éjectant hors du tétraèdre par sa pointe du bas. Par cette action, la lumière chargée des souillures accumulées dans la forme tétraédrique  sortira avec force de sa pointe dans le bas, en direction du centre  de la Terre. Cette Lumière chargée d’énergies de basses vibrations - si vous pouvez la voir intérieurement avec votre vision non physique (car elle appartient à la quatrième dimension)- est habituellement tachée de points sombres et prend souvent la couleur brune d’une eau boueuse, ou pire encore, surtout au début de votre pratique. Cet exercice mental est accompli simultanément avec les mouvements corporels indiqués en bas. (Mais auparavant, veuillez lire le supplément n° 4)

 

Supplément n° 4 :

Le fait que cette énergie négative pénètre dans le corps de notre bonne mère la Terre ne devrait pas trop vous inquiéter. Celle-ci est parfaitement capable de l’assimiler sans aucun problème pour elle-même. Cependant, si vous habitez à un étage  supérieur d’un appartement, Il est de votre devoir de protéger les gens qui vivent en dessous de vous contre toute contamination possible. Pour ce faire, nous vous proposons de recourir à la méthode qui va suivre.

 

Nous n’avons pas expliqué ce qu’est l’énergie de la pensée, et si vous ne la comprenez pas encore très bien, alors faites uniquement preuve de foi, en attendant d’obtenir la connaissance. Sachez simplement que l’énergie négative que vous avez émise hors de vous ne contaminera personne au cours de sa projection dans le magma terrestre. Pensez de cette manière et sachez qu’il en est ainsi; de la sorte, il en sera assurément ainsi.

 

Premier souffle        : expiration

 

Votre corps : Vous pouvez faire cet exercice les yeux ouverts ou fermés. Croisez légèrement les yeux, sans trop forcer, puis levez votre regard aussi haut que vous le pouvez (une sensation de picotement entre les yeux au niveau du troisième œil peut se faire sentir), puis abaissez-le rapidement jusqu’un point le plus bas possible. Cette fois-ci, il se peut que vous éprouviez  la sensation d’un courant électrique descendant le long de votre colonne vertébrale exactement en même temps que votre regard s’abaisse. Il s’agit, dans cet exercice, de bien coordonner l’intention avec l’exécution en utilisant le pouvoir de la visualisation ou du feeling, de l’intuition. En même temps que vos yeux légèrement croisés s’abaissent rapidement, faites comme si (cela produira les mêmes résultats) la surface triangulaire du tétraèdre de la Terre s’abaisse dans cette forme en synchronisme parfait avec votre regard ou visualisez cette image. Dès que vous avez terminé,  le tétraèdre retrouvera automatiquement sa forme originelle, car sa surface à l’horizontale se réformera et reprendra sa position de départ.

Cette action aura pour effet d’entraîner hors du  tétraèdre toutes les pensées et toutes les sentiments négatifs qui s’étaient accumulés dans ce circuit particulier  de votre système électrique. Plus précisément, cela nettoiera le circuit électrique associé au mudra que vous utilisez. Et maintenant, immédiatement après que l’énergie négative a été pulsée hors du tétraèdre, effectuez le prochain mudra et recommencez le même cycle avec le deuxième souffle

 

Les cinq souffles qui suivent sont identiques au premier, avec leurs mudras correspondants, qui sont les suivants :

 

Deuxième souffle     Mudra : Joindre le pouce et le majeur de chaque main

 

Troisième souffle     Mudra : Joindre le pouce et l’annulaire de chaque main

 

Quatrième souffle    Mudra : Joindre le pouce et l’auriculaire de chaque main

 

Cinquième souffle     Mudra : Joindre à nouveau le pouce et l’index de chaque main

                                                          (Comme dans le premier souffle)

Sixième souffle        Mudra : Joindre le pouce et le majeur de chaque main

 

Cette première partie, avec les six premiers souffles (qui ont pour but d’équilibrer les polarités et de nettoyer les circuits de votre système électriques), est terminée, Vous êtes maintenant prêts à poursuivre avec la deuxième partie

 

 

 

 

 

 

Deuxième partie : les sept prochains souffles

Et l’art de recréer la respiration sphérique

 

À partir  de maintenant, une nouvelle manière de respirer commence.

Vous n’avez plus  besoin  de visualiser des tétraèdres chaque fois que vous inspirez ou expirez. Vous devez simplement visualiser, ou sentir, ou seulement être conscients du tube pranique qui s’étend depuis le sommet du tétraèdre du Soleil ( de nature masculine ), situé à une main au-dessus de votre tête, jusqu’à l’extrémité du tétraèdre de la Terre( de nature féminin), à une main sous vos pieds. Le diamètre de votre tube est égal au cercle que vous pouvez former lorsque vous joignez le pouce et le majeur de votre main (Puisque chacun de nous est légèrement différent et unique, il a sa propre mesure) Ce tube parfaitement droit est comparable à un tube fluorescent dont chaque extrémité se termine par la pointe d’un cristal. Le prana pénètre donc par ces deux extrémités grâce à un trou infiniment petit.

 

 

Septième souffle :   inspiration

 

Votre cœur : de l’amour. On pourra démontrer plus de raffinement après avoir perfectionné cette méditation. (Veuillez lire le supplément 5)      

 

 

Supplément n° 5 :

Le raffinement qui va suivre est facultatif. Si vous n’en sentez pas la nécessité, continuez alors à ressentir seulement de l’amour. Vous ne pouvez y ajouter autre chose que lorsque vous vous êtes bien habitués à la pratique initiale de la méditation et que vous n’avez plus besoin de vous concentrer sur la manière de vous adonner. Voici donc ce que vous pourrez faire plus tard : remplacez le sentiment d’amour dans les sept souffles nobles nommés plus bas, et ce, pendant toute la durée de chaque souffle (à l’inspiration et à l’expiration).

 

Souffle n°7     Amour

Souffle n°8     Vérité

Souffle n°9     Beauté

Souffle n°10   Confiance

Souffle n°11   Harmonie

Souffle n°12   Paix

Souffle n°13   Vénération envers Dieu

 

C’est l’attitude nécessaire lorsque nous désirons nous engager sur la voie du retour jusqu’à notre source, en franchissant à nouveau le portail interdimensionnel situé dans la constellation d’Orion, au sein de la nébuleuse du crabe. Seule une conscience (ou un esprit) qui vit vraiment ces qualités peut espérer pouvoir enfin en franchir le seuil. Ce raffinement, si vous l’employez de manière répétée, génère un champ électromagnétique subtil qui vous aidera dans le futur. Et si vous ne comprenez pas maintenant, vous comprendrez plus tard.

 

Septième souffle :     Inspiration

 

Votre esprit : Visualisez ou sentez ce tube pratique qui traverse votre corps  de part en part. Dès l’instant ou  vous commencez l’inspiration du septième souffle, sentez ou voyez avec votre vision intérieur la lumière blanche étincelante du prana monter et descendre simultanément dans ce même tube Le pont de rencontre de  ces deux colonnes de prana dans le corps est contrôlé par votre volonté, et le mouvement du prana dans le tube est pour ainsi dire instantané. Il s’agit là d’un vaste domaine scientifique connu dans l’univers entier. Malgré tout, il ne vous sera donné dans l’enseignement présent que ce qui vous est nécessaire pour vous rendre de la troisième dimension de science à la quatrième et pour accompagner votre mère la Terre dans sa propre ascension.

Dans le cas présent, vous allez diriger les deux flux de lumière pranique de manière qu’ils se rencontrent au nombril ou plus précisément  à l’intérieur  de votre corps, au niveau du nombril - Au moment exact où les deux rayons se rencontrent, alors que vous entamez votre inspiration, une sphère pranique lumineuse apparaît à leur point d’intersection, dans tube, et dans le cas qui nous occupe, au niveau du chakra du nombril, Tout se passe en un instant seulement. Alors que vous pratiquez encore l’inspiration du septième souffle, la sphère de prana lumineux se met, lentement au début, à se concentrer et à augmenter de taille.

Votre corps : Utilisez le même mudra pendant les sept souffles : le pouce, l’index et le majeur de chaque main sont joints ensemble, et le paumes sont tournées vers le haut.

Votre souffle : Exercez-vous encore à la respiration yogique, une respiration profonde et rythmique, telle qu’elle a déjà été expliquée, en comptant sept secondes durant chaque inspiration et expiration, à moins que vous préférez un autre rythme. Allez-y d’après ce que vous ressentez être le mieux pour vous-même .À partir de maintenant, il n’est plus nécessaire de retenir le souffle. Le flux de prana dans les deux directions (de haut en bas, et de bas en haut dans le tube) ne s’arrête plus et ne change en aucune manière quand vous passez d’une inspiration du souffle à une expiration. Il y aura un apport continu dans les deux sens, et celui-ci ne s’arrêtera plus jamais, aussi longtemps que vous respirerez de cette manière - même après la mort, l’ascension ou la résurrection.

 

Septième souffle :  expiration

 

Votre esprit : La sphère de prana, centré juste derrière le nombril, continue à augmenter, si bien qu’en fin d’expiration, elle atteindra un diamètre de 20 à 30 centimètres.

Votre souffle : Ne forcez pas l'air hors des poumons, lorsque vos poumons sont naturellement vides, commencez immédiatement le prochain souffle.

 

 

Huitième souffle : inspiration

 

Votre cœur : de l’amour.

Votre esprit : la sphère de prana continue à concentrer l’énergie de la même force de vie et à augmenter de taille

 

Huitième souffle : expiration

 

Votre esprit  La sphère pranique augmente sans cesse de volume et parviendra  à sa taille maximale à la fin de ce souffle. Cette taille  est différente pour chacun de nous. Si vous placez l’extrémité de votre doigt le plus long sur le nombril, la ligne de votre poignet vous donnera le rayon de cette sphère lorsqu’elle est à son maximum. Cette sphère de prana pur ne peut grossir davantage ; elle en restera là, même lorsque nous vous donnerons les instructions pour vous en créer une autre plus grande à partir de celle-ci. 

 

Neuvième souffle : inspiration

 

Votre esprit : La sphère, ne pouvant plus continuer à prendre  du volume, concentre alors toujours plus de prana à l’intérieur d’elle-même, ce qui la rend de plus en plus resplendissante de lumière.

 Votre souffle : La sphère devient encore plus lumineuse, alors que vous poursuivez votre inspiration.

 

Neuvième souffle : expiration

 

Votre souffle : La sphère continue à augmenter de luminosité alors que vous expirez

 

Dixième souffle : inspiration

 

Votre esprit : Alors que vous inspirez au dixième souffle, la sphère de lumière situé dans la région de votre estomac et centrée exactement derrière le nombril parvient à son maximum de concentration. Approximativement au milieu de l’inspiration, au moment de la concentration maximale, la sphère s’embrassera et changera de couleur et de qualité. Le prana, qui est normalement de couleur blanc blanc, tournera brusquement au jaune doré, tel le Soleil. La sphère toute entière est maintenant dorée très semblable à l’astre de notre système solaire. Alors que vous complétez la dixième inspiration du souffle, cette nouvelle sphère de lumière dorée parviendra à son maximum de concentration. Au moment où votre inspiration atteint son apogée, la sphère est  prête à accomplir une transformation remarquable dans votre corps.

 

 

 

 

Dixième souffle : expiration

 

Votre esprit :   Au moment de l’expiration, la petite sphère  de lumière d’or, dont le diamètre est de deux longueurs de main, se bombe dans la région de son équateur, signe certain de son expansion imminente. En une seconde, avec l’aide de la méthode d’expiration du souffle que nous décrivons plus bas, la sphère se dilate rapidement et parvient jusqu’à la taille de la sphère de Léonard dans son fameux dessin, celui d’un homme debout, écartant les bras au maximum, et circonscrit dans une sphère (dont l’extrémité rejoint le bout de ses doigts). Votre corps est maintenant entouré d’une énorme sphère de lumière d’or, dont le centre est toujours à ce point situé juste derrière le nombril. Votre êtes retournés à l’ancienne forme de respiration sphérique. Malgré tout, cette grande sphère n’est pas encore stable. Vous devez prendre trois souffles supplémentaires (les souffles 11,12, et 13) afin de stabiliser et de consolider cette nouvelle sphère de lumière d’or.

 

Votre souffle : Au moment de l’expiration, retenez l’air pendant un instant tout en gonflant votre cage thoracique. Quand la pression est suffisante, laissez l’air s’échapper soudainement de vos poumons par la bouche. Notez que pendant la rétention du souffle, les muscles de l’estomac se contractent et que la région de la gorge semble s’ouvrir. C’est à ce moment-là que la petite sphère, qui est prête à se dilater, se bombe à son équateur et qu’au bon moment  (généralement en l’espace d’une seconde ou deux) elle explose soudainement, alors que vous laissez votre souffle sortir de votre poitrine avec force. À  cet instant précis, la petite sphère devient aussi grande que celle décrit par Léonard dans son fameux dessin. Notez également que la petite sphère est toujours là (parce que c’est en elle qu’il y a encore la plus grande concentration de prana) mais qu’il s’agit maintenant de deux sphères imbriquées l’une dans l’autre.

Les onzième, douzième et treizième souffles :

Inspirations et expirations

 

 

Votre esprit : Détendez-vous et laissez tomber la visualisation. Dorénavant, sentez simplement le mouvement du prana arrivant toujours dans le tube par le deux pôles, se rencontrant au point situé juste derrière le nombril et rayonnant ensuite jusque dans la grande sphère.

Votre souffle : Respiration yogique, profonde et rythmique. À la fin du treizième souffle, la grande sphère est devenu stable et permanente; vous voilà prêts pour le quatorzième souffle, qui est essentiel.

Il est important de noter ici que la petite sphère est encore présente à l’intérieur et au milieu de la grande. La petite sphère est en fait plus brillante et plus concentré que la grande sphère qui, elle, possède une lumière plus diffuse et de moins grande intensité. C’est de la petite sphère que l’on tire le prana pour différents usages, dont le travail de guérison.

 

Troisième partie : le quatorzième souffle

 

Quatorzième  souffle : inspiration

 

Votre cœur : Toujours de l’amour.

Votre esprit : Dès le commencement de l’inspiration du quatorzième souffle, faites remonter par la pensée le point de rencontre des deux flux de prana, depuis la région du nombril jusqu’à celle du cœur, à six ou sept centimètres au-dessus du sternum, soit le chakra de la conscience christique dans la quatrième dimension. En fait, ce sont les deux sphères qui se meuvent  de concert, car elles partagent exactement le même centre, et quand le centre se déplace, elles se déplacent avec lui. Même si ce mouvement vers le haut est facile à  accomplir, son effet est extrêmement puissant, car commencer à respirer depuis ce nouveau point  sur le tube pranique changera inévitablement votre conscience depuis le niveau de conscience dans la troisième dimension jusqu’à celui qui se trouve dans la quatrième dimension, ou encore, depuis la conscience terrestre jusqu’à la conscience christique. Il faudra quelque temps avant que la transition s’accomplisse, mais elle est inévitable si vous continuez cette pratique.

Votre corps : Le mudra  suivant sera utilisé. Pendant le restant de la méditation. Les hommes placeront la paume de leur main gauche sur celle de leur main droite, alors que toutes les deux sont dirigées vers le Ciel. Par contre, les femmes placeront la paume de leur main droite sur celle de leur main gauche. Les deux pouces se toucheront légèrement dans les deux cas, et il s’agit d’un mudra très relaxant. (Veuillez vous reportez au supplément no 6)

 

Supplément n° 6 :

Puisqu’un changement de polarité sexuelle est entrain de produire sur terre en ce moment même ---causé par un nouveau genre de lumière qui rayonne maintenant depuis l’ultérieur du Soleil---, un nombre de plus en plus grand d’être humains change aussi de polarité. Comme ce mudra n’est pas de la plus grande importance et qu’il sert principalement à vous détendre pendant la méditation, je suggère que vous placiez les paumes de vos mains de la manière qui vous semble le plus confortable, sans vous soucier de polarité. Et si votre chois s”avère différent au cours du temps, qu’il en soit donc ainsi !

 

Votre souffle : Respiration yogique profonde et rythmique. Malgré tout , si vous continuez à respirer à partir du centre  christique sans activer votre  Mer-Ka-Ba ( ce qui est recommandé, en attendant d’avoir pris contact avec votre identité supérieure), vous pouvez dorénavant passer à une respiration rythmique moins profonde et plus agréable. En d’autres mots, continuez à respirer avec rythme, mais de manière moins appliquée et, par conséquent, beaucoup plus naturelle et aisée, car à partir de maintenant votre attention capte davantage le rayonnement d’énergie lumineuse qui se déplace simultanément de haut en bas et de bas en haut dans le tube  pranique, se rencontrant dans la région du cœur, juste au dessus du sternum, et formant une petite sphère de lumière qui rayonne dans la grande. Tout ce que vous avez à faire est de sentir ce mouvement et ce rayonnement en arrière-fond .Utilisez votre qualité de féminine et soyez, tout simplement. Ressentez votre connexion avec toute vie à travers le souffle christique. Souvenez-vous de votre rapport intime et permanent avec Dieu. (Veuillez lire le supplément no7)

 

Supplément n° 7:

Pendant des années nous avons recommandé que les étudiants pratiquent  uniquement la respiration sphérique, jusqu’à ce qu’ils puissent contacter leur « higher self », leur Soi supérieur, et obéir à ses propres instructions. Malgré tout, la Terre est maintenant parvenue à une conscience beaucoup plus élevée,  et il est devenu possible de passer immédiatement à la quatrième  partie de la méditation Mer-Ka-Ba.

 

Quatrième partie : les trois derniers souffles

Et la création du véhicule de l’ascension

Pendant des années, il a été enseigné que l »on ne doit pas s’adonner à cette quatrième partie de la méditation avant d’avoir trouvé moyen de contacter l’être divin en soi, et que c’est lui qui nous donnera la permission de continuer ou non.

Aujourd’hui,  vous avez la permission d’appliquer le contenu de ce qui va suivre. Toutefois, nous vous conseillons encore d’être ouverts à toute communication de votre « higher self » de votre âme, de l’identité supérieure qui est en vous et que voues êtes vous-même sur un  plan d’existence plus élevé. Prenez ce conseil au sérieux, car les énergies qui seront conjurées en vous, autour de votre corps et dans votre esprit sont énormes.

 

Quinzième  souffle :  inspiration

 

Votre cœur : Amour inconditionnel pour toute vie.

Votre esprit : Soyez conscients de l’étoile tétraédrique tout entière. Chaque tétraèdre en étoile  est en fait composé de deux tétraèdres imbriqués l’un dans l’autre. Il y a le tétraèdre du Soleil (masculin, pointe en haut) marié au tétraèdre de la Terre  (féminin, pointe en bas).

 L’union sacré de ces deux êtres forme l’étoile tétraédrique ou encore, l’étoile de David à trois dimensions. Par ailleurs, vous devez réaliser que trois étoiles tétraédrique l’une sur l’autre occupent le même espace trois jeux complets de (doubles) tétraèdres en étoile, qui sont tous exactement de la même taille et qui, avant la réactivation du Mer-Ka-Ba ne semblent former qu’une seule étoile, alors qu’en fait ils sont séparés et bien distincts les uns des autres. Chaque étoile tétraédrique  a exactement la même taille, mais une polarité qui lui est propre (masculine, féminine ou neutre). Et finalement, chaque étoile tétraèdrique tourne autour du même axe central (celui du tube de lumière pranique).

   La première étoile tétraédrique est de nature neutre. C’est littéralement la représentation du corps physique lui-même, et son centre est à la base de la colonne vertébrale (la région des huit premières cellules). Elle ne change jamais d’orientation, sauf dans certains cas rares dont nous n’avons pas encore parlé. Elle est orientée autour du corps selon la polarité sexuelle de l’individu.

   La deuxième étoile tétraédrique est de nature masculine et électrique.

C’est littéralement la représentation de l’esprit humain, encore appelé intellect ou corps mental, et elle ne peut tourner que dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (par rapport à vous qui êtes à l’intérieur et observez droit devant vous). Une autre manière d’expliquer cela pourrait se résumer ainsi : cette étoile tétraédrique tourne de votre droite vers votre gauche lorsque vous êtes à l’intérieur et que vous observez droit devant vous.

   La troisième étoile tétraédrique est de nature féminine et magnétique. C’est littéralement la  représentation du corps émotionnel humain, et elle ne peut tourner que dans le sens des aiguilles d’une montre par rapport à vous, ou si vous préférez, de votre gauche à votre droite. (Veuillez lire le supplément no 8)

 

Supplément n°8 :

Voilà un des points les plus mal compris des débutants. Ils  n’est pas encore clair dans leur esprit qu’ils ont affaire à trois jeux  d’étoiles tétraédriques autour  du corps (et que chaque étoile tétraédrique est composés de deux tétraédriques simples imbriqués l’un sur les autres (. L’erreur la plus fréquente consiste à faire tourner le tétraèdre du Soleil dans le sens inverse de la montre  (de droite à gauche) et le tétraèdre de la terre dans le sens opposé (de gauche à droite). Cette tendance ne cause pas grand tort, mais la croissance spirituelle du fautif est temporairement arrêtée.

 

Le type de Mer-Ka-Ba ainsi créé vous mènera jusque dans une harmonique en résonance avec la troisième dimension de cette planète, qui a été utilisée pendant des milliers d’années par les chamans et guérisseurs en tout genre, dans le but de gagner des pouvoirs de guérir autrui. Cela a même été retenu dans l’art de la guerre. Cependant, c’est là une pratique qui ne débouche pas sur quelque chose de réellement significatif. En fin de compte, elle ne vous permettra pas de faire l’ascension jusque dans les mondes supérieurs avec notre mère la  Terre Si cela est votre façon de pratiquer votre Mer-Ka-Ba, veuillez recommencer votre pratique selon les instructions que nous vous donnons ici.

 

 

Quinzième  souffle :  inspiration

 

Au cours de l’inspiration du quinzième souffle, alors que vous inspirez, dites-vous ceci dans votre esprit : « vitesse égale ». Cet ordre aura pour effet d’enclencher la rotation des deux étoiles tétraèdriques. (Les seules des trois qui soient mobiles), qui tourneront chacune à vitesse égale, mais dans des directions opposées l’une par rapport à l’autre. La partie subconsciente de votre esprit connaît déjà votre intention et fera exactement ce que vous exiger d’elle. En d’autres termes, si l’étoile tétraédrique représentant  le corps mental se met à tourner à un tiers de la vitesse de la lumière  (ce qui est d’ailleurs le cas), alors l’étoile  tétraédrique représentant le corps émotionnel sera entraînée exactement à la même vitesse, mais dans le sens opposé.

Votre corps : À partir de maintenant, continuez à utiliser le même mudra, celui de la paume de la main gauche sur celle de la main droite pour  le hommes, et vice versa pour les femmes. Les paumes sont tournées vers le haut et les pouces se touchent  légèrement  dans les deux cas. (Veuillez vous reportez au supplément no 9)

 

Supplément n°9 :

Vous pouvez également recourir au mudra des doigts croisés : dans ce but, croisez vos doigts et faites en sorte que les pouces se touchent naturellement.

 

 

Quinzième  souffle :  inspiration

Votre souffle : Toujours la respiration yogique profonde et rythmique, mais seulement pour les trois prochains  souffles. Après cela, retournez à une respiration plus superficielle, effectuée avec plus d’aisance, mais toujours rythmique. Nous vous le répéterons à l’avenir.

 

Quinzième  souffle :  expiration

Votre esprit : Le deux étoiles tétraédriques tournoient de plus en plus. En un instant, les pointes (c’est-à-dire les parties les plus éloignées du centre de chaque étoile) atteignent la vitesse d’environ un tiers de celle de la lumière. À cette vitesse, il est bien certain qu’on ne peut plus « voir » les étoiles tétraédriques tournoyer autour de soi. Toutefois, on peut les « sentir ». Vous venez juste de mettre en marche votre Mer-Ka-Ba, mais vous n’irez nulle part et ne ferez pas encore d’expérience extraordinaire. C’est comme si vous aviez démarré le moteur de votre voiture, mais qu’elle restait au point mort. Voilà néanmoins un pas essentiel à franchir lorsqu’on crée un Mer-Ka-Ba.

Votre souffle : Comme dans le souffle numéro 10 serrez les lèvre tout en faisant monter la pression de l’air dans vos poumons alors que la région du plexus solaire et des abdominaux se tend sous la contrainte. Puis laissez soudain échapper l’air par la bouche en détendant les lèvres, comme vous l’avez déjà fait, ce qui encouragera les deux étoiles tétraédriques à tourbillonner ensemble. (Veuillez lire le supplément no 10)

 

Supplément n°10 :

Après la création du Mer-Ka-Ba et sa pratique journalière pendant environ deux semaines, vous pouvez rendre cette expiration forcée du souffle bien moins dramatique et beaucoup plus symbolique, car votre subconscient connaît exactement vos intentions et peut provoquer l’accélération des tourbillons avec ou sans cette pulsation forcée du souffle expiré. (Mais si vous aimez toujours le faire, allez-y!)

 

Seizième  souffle :  inspiration

 

Votre esprit : C’est assurément le souffle le plus extraordinaire de tous. Alors que vous inspirez, dites-vous ceci : « 34/21 ». C’est là un code que votre subconscient comprendra; il signifie que l’étoile tétraédrique de votre faculté mentale va maintenant tournoyer à 34 tours de plus. Tandis que l’étoile tétraédrique de votre corps émotionnel le fera à 21 tours de plus, formant ainsi un rapport de 34/21. Alors que les deux étoiles tétraédriques augmentent  maintenant de vitesse (soit deux tiers de la vitesse de la lumière dans un cas et un tout petit peu moins vite dans l’autre cas). ce rapport de 34/21 reste stable durant tout l’accélération.

Votre souffle Respiration  yogique  profonde et rythmique. (Veuillez lire le supplément no 11)

 

 

 

Supplément n°11 :

La raison pour laquelle on utilise le rapport 34/21 est la suivant : comme vous l’avez appris dans le chapitre  8, ces deux  nombres font partie de la progression de Fibonacci (1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, etc.). Dans  la nature, toutes les spirales qui tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre - et qui sont présentes dans les pommes de pin et les tournesols, par exemple- ont des nombres qui appartiennent également à la progression de Fibonacci (il se peut qu’il y ait des exceptions, mais je n’en connais encore aucune). Cette explication répond en partie à la question : « Mais pourquoi 34/21 ? »

 

Je ne peux faire ici de longue dissertation sur le sujet, mais disons que chaque chakra a un rapport de vitesse rattaché à cette troisième dimension. Avec  le quatorzième souffle, nous sommes passés au chakra du cœur, le chakra christique, et nous avons commencé à respirer à partir de là. Or, le rapport de vitesse du chakra christique en chacun de nous est de 34/21. Celui du chakra au dessus (c’est-à-dire de la gorge) est de 55/34. Quant au chakra en dessous, celui du plexus solaire, il est de 21/13. Il n’est pas important que nous sachions tout cela maintenant, car lorsque nous parviendrons dans la quatrième dimension, nous en obtiendrons la pleine connaissance.

 

 

Seizième  souffle : expiration

 

Votre esprit : Alors que vous pulsez votre souffle comme il a été expliqué plus haut, les deux jeux de tétraèdres augmentent immédiatement de vitesse. En un instant, ils passent  de un tiers à deux tiers de la vitesse de  la lumière. Alors qu’ils s’approchent de cette dernière, un phénomène remarquable se produit. Un disque plat s’étend  rapidement tout autour du corps à partir des huit premières cellules d’origine (à la base  de la colonne vertébrale), parvenant immédiatement à un diamètre d’environ 17 mètres. Et la sphère d’énergie centrée autour des deux jeux de tétraèdres crée autour du corps, avec le disque, en forme semblable à une soucoupe volante classique (ou à deux assiettes à soupe inversées et posées bord à bord). Cette matrice énergétique est appelée le Mer-Ka-Ba. Malgré tout, ce champ électromagnétique n’est pas encore stable. Si, parvenus à ce point dans notre méditation, vous voyez ou sentez le Mer-Ka-Ba autour de vous, vous aurez l’impression qu’il vacille sur son axe comme une toupie qui ne tourne pas suffisamment nécessaire pour accroître sa vitesse de rotation.

Votre souffle : Comme  avec le quinzième souffle. Pincez les lèvres, faites monter la pression de l’air dans vos poumons et pulsez soudain cet air hors de vous par la bouche en relâchant les lèvres. C’est à ce moment exact que la vitesse des deux jeux de tétraèdres augmente. Alors que vous sentez cette vitesse de rotation augmenter, expulsez votre souffle avec force (sans trop exagérer, car votre subconscient comprend déjà très bien votre intention). Cet acte provoquera une vitesse supérieure à celle  obtenue pendant le souffle précédant, et le Mer-Ka-Ba en forme  de soucoupe se formera complètement tout autour de vous.

 

Dix-septième  souffle : inspiration

 

 Votre cœur : Souvenez-vous que vous devez ressentir un amour inconditionnel pour toute vie au cours de cette méditation, sous peine de n’obtenir aucun résultat.

Votre esprit : Alors que vous inspirez, dites-vous ceci : « neuf dixièmes de la vitesse de la lumière » C’est l’ordre que vous donnez à votre subconscient afin qu’il augmente la vitesse du Mer-Ka-Ba jusqu’à j 9/10 de la vitesse de la lumière (soit 90%, ou environ 270 000 kilomètres à la seconde), ce qui stabilisera complètement le champ d’énergie tourbillonnante et donnera lieu à autre chose. L’univers de la troisième dimension dans lequel nous vivons tous en ce moment est basé sur ce rapport de 9/10 de la vitesse de la lumière. En effet, chaque électron de notre corps tourne autour du noyau de l’atome à 9/10de la vitesse se la lumière. Voilà pourquoi cette vitesse particulière a été choisie. Cela vous rend capables de comprendre et de travailler avec le Mer-Ka-Ba dans cette troisième dimension sans être obligés de vivre immédiatement de expériences dans la quatrième dimension,  et plus. C’est un point très important surtout au commencement. (Veuillez vous reportez au supplément no 12)

Votre souffle :  La respiration yogique , profonde et rythmique.

 

Supplément n°12 : Plusieurs instructeurs dans le monde ont maintenant décidé d’enseigner la manière  de faire tourbillonner le Mer-Ka-Ba de leurs étudiants à une vitesse plus grande que celle de la lumière. Bien que ce soit leur choix et que je leur en laisse l’entière responsabilité, je sens personnellement que c’est une pratique extrêmement dangereuse. En fait, le moi supérieur ou higher self de ces étudiants, ou leur identité supérieur, si vous préférez, ne permettra pas que cela leur arrive, même si l’étudiant donne l’ordre à son subconscient qu’il en soit ainsi. En effet, si le Mer-Ka-Ba de la personne en question tournoyait à une vitesse supérieure à celle de la lumière dans cette troisième dimension, cette personne disparaît littéralement de notre vue et réapparaîtrait autre part dans l’univers, dans une autre dimension. Désormais, elle ne pourrait plus vivre sur terre.

 

Ne vous impatientez pas, car viendra un temps où cet acte sera très à propos. Il s’agit en fait du « dix-huitième souffle », et nous en reparlerons dans un instant.

 

Dix-septième  souffle : expiration

 

Votre esprit : La vitesse de rotation augmente jusqu’à 9/10 de la vitesse de la lumière, ce qui stabilise le Mer-Ka-Ba.

Votre souffle : Le même que les souffles 15 et 16. Serrez vos lèvres, faites monter la pression d’air à l’intérieur de vous, puis lâchez le souffle avec force par la bouche, en desserrant les lèvres. Vous êtes maintenant dans votre Mer-Ka-Ba, qui est devenu stable et en parfaite harmonie avec la troisième dimension avec l’aide de votre identité supérieure, vous comprendrez ce que cela signifie au juste.

   Maintenant que vous avez terminé cet exercice de respiration, vous pouvez, en théorie, vous lever immédiatement et retourner à votre routine quotidienne. Mais dans ce cas, essayez de vous souvenir de votre souffle et d’être conscient en permanence, aussi bien que le mouvement du prana dans le tube central, dont les polarités se rencontrent au cœur avec chaque souffle. Faites ceci jusqu’à ce que vous réalisez que la vie elle-même est une longue méditation les yeux ouvert et que tout est sacré, absolument tout.

   Plutôt  que de vous lever immédiatement, il serait bon que vous restiez en méditation un peu plus longtemps, soit de quinze minutes à une heure ou plus, si vous pouvez vous offrir ce luxe. Pendant que vous êtes dans cet état méditatif, sachez que vos pensées et vos émotions font considérablement amplifiées. C’est le moment parfait pour répéter en soi-même des affirmations positives. Parlez à votre identité supérieure, à votre âme ou à votre ange gardien, tous synonymes, et découvrez vous-mêmes les possibilités de ces moments très chargés. Nous en reparlerons en détail dans le chapitre sur l’énergie psychique.

 

Dix-huitième  souffle :

 

Ce souffle très spécial, ne vous sera pas enseigné ici. C’est votre identité supérieur qui doit vous le révéler. C souffle vous mènera au-delà de la vitesse de la lumière et de  la troisième dimension, jusqu’à la quatrième ( et même plus loin, si telle est la volonté de votre âme, de votre être intérieur profond et sage). Tout cela est basé sur des fractions à nombres entiers, comme en musique. Vous disparaîtrez alors de ce monde-ci et réapparaîtrez  dans un autre, qui sera votre nouveau foyer pendant quelque temps. Il ne s’agit pas d’une fin, mais plutôt du recommencement d’une conscience sans cesse grandissante qui vous ramènera à la Source. Je vous demande de ne pas faire d’essais avec ce dix-huitième souffle, car cela peut être  très dangereux.

     Soyez patients et ne vous inquiétez de rien, car au bon moment, votre ange gardien, votre être divin, vous aidera à vous souvenir de la bonne manière d’effectuer ce souffle. Cela viendra à vous quand vous en aurez vraiment  besoin.

      Néanmoins, je dois préciser que plusieurs instructeurs enseignent maintenant ce souffle à leurs étudiants, spécialement sur Internet. Je ne peux vous imposer de faire ou non quoi que ce soit, mais de grâce, soyez très prudents, Certains, parmi ces instructeurs, diront savoir comment s’y prendre, en ajoutant qu’ils connaissent la bonne manière de vous ramener sur terre.. Souvenez-vous simplement que si vous preniez vraiment ce souffle, vous n’existeriez plus dans cette dimension-ci. L’idée que vous pouvez vous rendre dans une dimension d’existence supérieure à celle-ci, puis revenir sur terre à volonté, est très improbable. Je n’affirme pas que la chose est impossible, je dis simplement qu’elle est peu probable. Si vous faisiez vraiment l’expérience des mondes supérieurs à ce moment-ci de votre évolution, vous ne voudriez plus retourner sur terre. Par conséquent, faites attention. Comme je l’ai déjà  souligné, comment vous y prendre sans avoir besion d’aucune aide extérieure.(*)

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   (*) Tiré du livre :L’ancien secret de la Fleur de Vie,tome 2 Drunvalo Melchizédek, éditions Ariane,  pp.422 à 435, 2001. Permission Marc Vallėe, c. 2019.

 

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