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Pour vérifier son authenticité, le crâne est envoyé à une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard. Le groupe de spécialiste en vint à la conclusion que cet artéfact était une « anomalie », considérant les limitations techniques des civilisations précolombiennes : il aurait fallu plusieurs centaines d'années de travail continu pour obtenir ce résultat avec les outils dont disposaient les Mayas. Cependant, ce cristal ne vieillissant pas, il est impossible de dater le crâne car les scientifiques sont incapables d’y trouver des traces d’usinage. Il est fabriqué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope et les deux pièces aurait été taillées dans le même morceau de cristal. |
Mais plusieurs sont convaincus que ce crâne est un faux. Anna Mitchell-Hedges l’aurait trouvé le jour de son anniversaire, un des rares jours durant lesquels elle avait droit de venir participer aux fouilles.
Plusieurs croient que son père aurait préalablement placé le crâne sur sa route, pour lui faire un cadeau de fête original. Un certain Joe Nickell affirme que le crâne en question a été acheté lors d'une vente aux enchères en 1943, pour la somme de 400 livres. Selon les histoires associées à ce crâne, certains prétendent qu’il daterait d’environ 3600 ans (affirmation faite selon l’endroit où il fût trouvé) et aurait été utilisé par les grands prêtres maya durant leurs rituels ésotériques. Il aurait été un objet maléfique, servant à donner la mort.
Conservé au British Museum, le crâne de cristal de Londres à une histoire plutôt trouble. Sa première apparition remonterait au milieu des années 1890, alors qu’un certain E. Boban déclare l’avoir acheté d’un mercenaire mexicain, ce dernier aurait trouvé le crâne dans une cité maya localisée au Mexique. Boban essaya d’abord de le vendre à la Smithsonian Institution, et ensuite à la compagnie Tiffany's de New York, qui l’acheta. Le musée lui racheta en 1898 pour l’exposer comme artefact précolombien. Nous savons aujourd'hui que Boban l'a acheté en Allemagne, sachant bien qu'il s'agissait d'une réplique. |
Ce crâne, faisant parti de la collection du Musée du quai Branly, est en quartz limpide d'une grande pureté, ressemblant beaucoup au crâne de Mitchell-Hedges. Il mesure 11 cm de haut et pèse plus de 2 kg ; sa mâchoire n'est pas séparée du reste du crâne. Il a la particularité d'être traversé de haut en bas par un orifice de forme biconique, indication qu'il a été fait à la main. Offert par l’explorateur Alphonse Pinart en 1878, il fut le premier à entrer dans un musée. Selon Jacques Lévine, conservateur de la collection américaine du Musée de l'Homme, il a longtemps été considéré comme un chef-d’œuvre aztèque représentant Mictecacihuatl, divinité de la mort. Il est désormais rangé parmi les imitations fabriquées au XIXe siècle en Allemagne à partir de quartz brésilien, fournies par l’antiquaire Eugène Boban de qui A. Pinart tenait une partie de sa collection. Néanmoins, selon le British Museum, il est possible que certains crânes perforés aient été fabriqués au Mexique à l’ère coloniale pour servir de base à des croix catholiques. |
Retrouvé au Guatemala, à la frontière du Honduras, au début du XXe siècle, il est considéré comme une véritable œuvre artistique. Les caractéristiques du crâne sont difficiles à trouver sur Internet, ce dernier étant impopulaire et méconnu. Il aurait été apporté au États-Unis par un prêtre autochtone (en même temps que le crâne d'améthyste) et aurait été étudier par la société Hewlet-Packard, qui en serait venu à la conclusion qu’il était aussi une relique authentique. Comme beaucoup d'autres crânes, sa méthode de conception est des plus insolite. Il fût sculter dans un bloc uniforme de quartz clair. Comme les autres reliques jugées authentiques, il aurait été un artéfact Maya. Plusieurs jugent qu'il serait daté entre 5000 et 36 000 ans, une théorie qui sème beaucoup de spéculations chez les septiques comme chez les convaincus. Il y a peu d'information disponible sur ce crâne ou sur ces propriétaires. |
Sources:
- Le mystère des crânes de cristal, p. 50, collection Aventure secrète - Editions J'ai lu 2003
- Les 13 Crânes de Cristal, La Prophétie des Premiers" - 247 p. - Editions La Bruyere
- http://www.wikipedia.org
- http://www.artemisia-college.org
- http://www.crystalinks.com
- http://www.officialskull.com
Ce crâne, même si ces dimensions sont différente de celui de Mitchell-Hedges, est probablement celui qui lui ressemble le plus. De petite taille, il fût sculté dans un bloc de quartz rose et est composé de deux morceaux (la machoire peut se détacher du crâne). La plus grande ressemblance se situe dans sa conception, la finition du polissage est d'une qualité qui aurait définitivement impossible à atteindre pour les technologies préhispanique. Il aurait été trouvé au frontière du Honduras et du Guatemala. Il n'est pas translucide mais bien opaque. |
De taille plus petite que la moyenne des autres crânes de cristal, cet artéfact doit son nom à un trou que les espagnols ont creusé au sommet du crâne afin de pouvoir y planté une croix. Nous savons également que les dents ont été retouché. Les circonstances entourant la découverte de ce crâne sont mal connu, les espagnols auraient mis la main dessus peu après le début de la conquête de l'Amérique du sud. |
Ce crâne a été trouvé au Guatemala au début du siècle et apporté aux États-Unis par un autochtone, en même temps que le crâne "Mayan". Tout comme lui, il fût aussi soumis à l'expertise de la société Hewlet-Packard et les conclusions furent similaires à celle du crâne « Mayan », la direction de la taille est contraire à l'axe du cristal. Ce crâne à été fabriquer à partir d'un bloc uniforme de quartz pourpre, il n'est donc pas translucide ni transparent, mais tout à fait opaque. Il appartient maintenant à un groupe d'hommes d'affaire qui en font une exploitation commerciale et qui espère le vendre pour 50 000 000$ U.S. |
Surnommé E.T. à cause de sa forme rappelant vaguement la créature de science-fiction de Steven Spielberg, le crâne E.T. est fait d’un cristal noircit peu translucide. La pointe du crâne est légèrement exagérée et la grosseur des orbites le fait ressembler à un crâne d’extraterrestre. Il fût aussi trouvé en Amérique Centrale au début du XXe siècle et est maintenant la propriété de la hollandaise Joky van dieten Maasland. Ce crâne aurait été à l’origine d’une guérison miraculeuse, alors que sa propriétaire Joky aurait souffert d’une tumeur au cerveau. Une forme serait apparue dans le crâne, au même endroit que ce situait la tumeur de Joky alors que celle-ci avait miraculeusement guérie. Comme dans n'importe quelle guérison de la sorte, ce sujet soulève la contreverse et nombre de septiques exigent les preuves d'une telle affirmation. Ce récit aurait facilement pu être créer dans le but de promovoir la vente de cette relique. Malgré tout, il reste probable que ce crâne soit lui aussi un authentique crâne de cristal Maya. |
Ce crâne serait possiblement un des 13 crânes de cristal authentique et est la propriété de JoAnn Parks, une femme habitant Houston, aux États-Unis. Son histoire est des plus mystérieuse, parce que sa provenance demeure inconnue. Tout ce que nous savons c’est qu’il aurait été volé dans une tombe au Guatemala entre 1924 et 1926 et que sa découverte serait restée secrète pendant une longue période de temps. Il aurait été utilisé par les prêtres Mayas pour la guérison, des prières et plusieurs autres types de rituels. Il est l’un des deux anciens crânes de cristal sur lesquels le British Muséum a fait des recherches en 1996 (l’autre étant Sha-Na-Ra). |
Considéré par quelques experts comme étant authentique et probablement un des plus représentatif crâne de cristal, ce dernier est un artéfact de 15,5 kg et serait la représentation de la tête d’un grand homme adulte. Il est lui aussi taillé dans un seul et même bloc de cristal translucide. Ce crâne aurait été acquis par un homme d’affaire européen, prénommé George, passionné d’alpinisme, qui voyageait alors en Amérique centrale. Il le reçu en cadeau d’un vieil homme mourant d’origine amérindienne chez qui il avait séjourné quelques temps, dans un petit village situé dans la cordillère des Andes, près des frontières du Chilie, du Pérou et de la Bolivie. Il lui fût expliquer que le crâne aurait été caché peu après le début de la colonisation espagnole, et qu’une vieille femme lui avait donné alors qu’il était encore jeune. Ce crâne était un artéfact d’une civilisation aujourd’hui disparue et un objet de culte des plus important. |
Ce crâne est fait en cristal de roche un peu laiteux. Façonné avant l’âge des Aztèques, Sha Na Ra, comme tous les crânes de cristal anciens, a beaucoup d’histoires à raconter. Il a été trouvé lors d’une exploration archéologique à Guerrero, au Mexique vers la fin des années 1990. C’est Nick Nocerino qui aurait su où trouver ce crâne et qui aurait indiqué aux archéologues, de bons amis à lui, où chercher. Il aurait été un outil chamanique ; sa fonction est d’accumuler et de communiquer la connaissance, d’établir des connections avec l’inconscient, d’ouvrir des portails vers d’autres dimensions et de stimuler la guérison. La famille des Nocerino a toujours été captivée par la magie blanche. D’ailleurs Nick commença à rêver aux crânes de cristal, aussi bien endormi que réveillé, longtemps avant de connaître leur existence réelle. Selon ces dires, il les crânes lui donnait des visions et c’est pourquoi, au cour de sa quête, il toucha à neuf des supposés crânes de cristal. |
Ce grande est le plus grand (25,5 cm sur 22,5 cm) et un des plus lourd (14 kg) de tout les crânes de cristal. Il n'est pas transparent, mais translucide et trouble, un peu comme celui du British Museum. Il n'a pas la mâchoire séparée du crâne, mais il est creux avec des orbites vides à la façon d’un vrai fossile. Donné en 1990 par une personne disant en avoir fait l’acquisition dans les années 1960 au Mexique, il a tout d’abord été mis de côté en attendant le résultat d’une expertise. Celle-ci a rendu publics pour la première fois en 1992 les doutes portant sur l’authenticité des grands crânes de cristal. En 2005, il fût aussi soumis à une expertise du British Museum. Les traces de meules du crâne ont permises de déterminer que sa fabrication est récente et donc considéré comme un faux. Encore une fois, les indices pointent vers Eugene Boban, un faussaire de l’époque, aussi suspecté d’être l’auteur du crâne de cristal de Paris et de celui du British Museum. |