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Au Moyen-Âge, le « pion », gens ordinaire, paysan de l’époque, avait à payer des taxes aux collecteurs de taxes qui en retour remettaient le butin au roi. De nos jours, ça n’a pas vraiment changé. Les titres sont différents mais les méthodes sont identiques. Les politiciens se prennent pour les rois d’aujourd’hui... S’ils taxent continuellement en coupant ou en réduisant l’assistance sociale et ses programmes et ne créent pas plus d’emplois, où donc vont-ils prendre leur argent pour supporter les programmes d’assistance sociale ? La Canada prendra-t-il cet argent des ventes croissantes de la marijuana? Et le chômage ?
Les politiciens sont, pour la majorité, tous pareils aujourd’hui. Afin de se faire élire ils nous font croire qu'ils détiennent la clé du mieux-être collectif. Ils font des promesses et rien ne change sauf le niveau toujours croissant des taxes et quoi encore ? Il est vrai qu’il y a de bonnes décisions qui sont prises, elles sont rares... Ils agissent souvent dans l'espoir de gagner des votes. Nombreux sont ceux qui espèrent voir à ce que leur pension soit effective à l’âge de la retraite, soit à 60 ans et non pas après deux mandats en moyenne de 4 ans. Voilà un problème qui embrouille les cartes des écologistes. Ils commencent à peine à bouger face aux dossiers écologiques qu’ils doivent céder leur place à un nouveau venu politisé qui a son tour prend encore 4 ans disons pour agir comme son prédécesseur. C’est le cercle vicieux actuel côté lenteur écologique-réactionnaire-gouvernemental. J’appelle ce dilemme, mettre le bâton dans les roues de l’éminent écologiste qui ne voit rien de concret se passer et le temps s’écoule lui. Les glaciers continuent de fondre! Votre voie mondiale actuelle est pressante messieurs de la politique. Ce ne sont pas les kilomètres qui font un pays mais bien les quinze centimètres entre les deux oreilles de ses habitants comme de tous les élus. Les banques canadiennes devraient investir avec leurs milliards de profits annuels dans l'emploi et l'écologie. Elles ont les moyens... mais en ont-elles le courage? Restons un pays uni. Notre force est un exemple mondial. Gardons-nous des requins et des vautours du pouvoir national qui n'attendent que notre séparation pour s'approprier notre sol en leurs noms et faire des affaires d'or. C'est une illusion. Renforçons nos liens interculturels, notre salut à tous.
Le temps est à l'équilibre économique, amis de la liberté. Lorsque le taux de chômage sera presque inexistant, nous pourrons prendre des décisions éclairées. Avant cette époque, il y a une cloche qui invite à la réconciliation avec le temps car, comme le disait si bien Benjamin Franklin (celui qui a découvert l'électricité): «Le temps, c'est de l'argent». C'est encore d'actualité.
NOTE : Si tous les adeptes du marché noir déclaraient leurs revenus, la dette nationale serait presque inexistante ou ne serait que poussière. Actuellement (c. 2019), le marché noir véhicule au Canada seulement quelques 7 milliards de dollars par province. Voici pourquoi le premier ministre du Canada a légalisé la marijuana dans toutes les provinces, partout au Canada… AAAAH! On expulse ce que l’on absorbe (loin d’être scatophile ici). C’est une loi naturelle inévitable chez tout être vivant. Mais pourtant on garde et on se nourrit de ce qui est bon pour le système et pour notre confort douillet, au risque d’être pris la main dans le sac de la contrebande illicite, illégale. Un voleur, en commet- tant son crime, se vole toujours lui-même, c’est connu. Car, capturé, il perd sa liberté parce que ses talents sont dans la mauvaise direction.
« En politique, l’argent est la réponse à presque tous les problèmes.»
-Edward Greenspoon, Reporter au Globe and Mail
La personne qui n’a pas (ou plus du tout) de dettes (cartes de crédit, financement, prêt) est la personne la plus riche qui soit... Elle est libre et elle peut avoir un style de vie acceptable bien à elle. Elle ne rend de compte à personne et à l'esprit tranquille. Elle est moins stressée. Les statistiques nous disent qu'une famille sur six est pauvre et pourtant plus de la moitié de ces gens travaillent. Elle vit le fruit de ses efforts telle la fourmi dans la fable de Lafontaine. L’idéologie d’une société utopique, c’est comme l’histoire du cheval qui se déploie de toutes ses forces pour atteindre le rêve impossible d’attraper la carotte suspendue au bout de son nez et qu’il n’aura jamais. Il va mettre tous ces efforts mais son but est irréalisable. Il aide l’autre à s’enrichir et à se déplacer à une vitesse folle.
MORALE : Celui qui prêche l’idéologie est à dos de cheval. Il présente la carotte. Il ne s’épuise pas. Le cheval (le simple citoyen) est celui qui se fait manipuler à courir après ce qu’il n’aura jamais. L’idéologiste est donc mort de rire et riche. La solution se trouve entre vos deux oreilles, c'est votre chakra de l'imagination qui s'épanouit par la matière grise de votre cerveau.
Comme le disait Delacroix: « Le plus grand triomphe d'un écrivain, c’est de faire penser ceux qui peuvent penser. »
Avis à la population en général : Les politiques gouvernementales, autant provinciales que fédérales se votent avec la tête non le cœur. Chez l’individu construisons l’avenir après on parlera à l’imparfait. Mon opinion politique est que les gouvernements doivent changer quelque chose dans leur comportement envers l ´écologie et l’économie de la masse donc du simple citoyen. Leurs politiques peuvent mener le pays à la faillite ou à la pauvreté accrue comme en Nouvelle-Zélande qui a remonté la pente grâce à 4% de chômage. Les gouvernements prendront bien les décisions qui s’imposent pour le bien collectif des individus comme vous et moi. www.massemoi.jimdo.com