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Marie parle de Shaklee
Les compagnies de commercialisation par réseaux
Les compagnies ordinaires n’ont qu’un seul objectif, à tout prix, elles ne cherchent que le profit au détriment de la Terre. En conséquence, elles n’ont aucune morale, ni sociale, ni écologique, comme celles qui font 100 millions $ de profit et ont des paradis fiscaux qui se chiffrent par milliards. En revanche, les compagnies qui commercialisent leurs produits au moyen d’un réseau de collaborateurs ont d’abord des préoccupations humanitaires et écologiques. Il existe actuellement un grand nombre de compagnies commerciales qui font des affaires par contact direct avec des gens. Il importe que toutes les populations développent une conscience collective pénétrante pour sauver la planète. Cependant, le développement d’une conscience collective dépend d’une modification psychologique et des habitudes de vie des gens, ce qui suppose un changement de mentalité. C’est pourquoi les Hommes de la Terre, les multinationales pollueuses et exploiteuses du tiers-monde doivent, le plus tôt possible, changer leur façon mercantile d’agir . Dans le monde, environ 37 000 multinationales possèdent le tiers de l’avoir privé de la planète. D’où un chiffre d’affaires de 5.5 trillions $ soit 5 millions de milliards $, malgré le fait qu’elles doivent tenir compte de 500 législations nationales ou d’États différents. Heureusement, de plus en plus de compagnies, un faible pourcentage, cependant, ont les préoccupations majeures suivantes: la santé et l’environnement. En ce qui concerne les compagnies qui fonctionnent par l’intermédiaire d’un réseau de collaborateurs, les exigences sont toutefois moins grandes. C’est pourquoi le marketing de réseaux, marketing social, est le moyen par excellence pour faire des affaires aujourd’hui. D’aucuns prétendent qu’il deviendra l’avenir de toutes les personnes désireuses d’atteindre l’indépendance financière. Cependant, leurs propriétaires doivent tenir compte, dans leurs politiques, des données écologiques et respecter l’environnement. Il est plus acceptable d’augmenter ses revenus en toute quiétude, lorsque les produits que l’on vend sont écologiques.
Actuellement, tous ceux et celles qui font du marketing, par l’intermédiaire d’un réseau de collaborateurs de réseaux, vendent des produits écologiques. Ils établissent un réseau de relation (parents, famille, amis, relations de travail ou contacts à froid) à temps partiel, selon leur convenance ou à temps plein, s’ils le désirent vraiment, lorsque leurs revenus triplent le salaire de leur emploi, pour ceux et celles qui en possèdent un. Les gens ordinaires, les professionnels et les personnes de tous les milieux et de toutes les nationalités y sont attirés, en raison du principe de levier de ce genre de commerce légitime. L’action régulière et constante, que ce soit dix ou vingt heures par semaine, est suffisante pour avoir des revenus intéressants à long terme, disons après six ou dix mois. Petit à petit, les affaires continuent à progresser, créant l’effet de boule de neige, car, dans le réseau, d’autres personnes sont déterminées à faire comme eux, pendant que d’autres (les consommateurs) recherchent toujours les produits et les services les moins chers. Il y a de la place pour tout le monde dans ce genre de commercialisation par réseaux. Tout dépend des rêves et des aspirations de ceux qui s’y adonnent.
Voici ce qu’est le principe du levier
Ce principe, peut, si on le présente grossièrement, se résumer à dire que plus vous recrutez de personnes, qui acceptent de vendre votre produit à d’autres personnes qui acceptent, elles aussi, de procéder de la même façon, plus vous vous enrichissez.
Supposons, qu’à titre individuel, vous achetez jusqu’à 100 $ d’un produit par mois, ce qui semble, selon le produit, être bien peu d’argent, compte tenu du total des dépenses qu’un salarié à revenus moyen peut faire dans un mois. Il est certain que vous n’êtes pas seul dans cette situation.
C’est pourquoi, si un jour, vous décidez de vendre ce produit à ceux qui s’y intéressent autant que vous et qui acceptent, à leur tour, de recruter d’autres acheteurs éventuels, dans les mêmes conditions, vous aurez formé un réseau qui servira de levier pour vos affaires comme pour celles des personnes qui collaborent avec vous. Voici un exemple plus précis: Si vous recrutez six personnes qui, elles, recrutent, à leur tour, six autres personnes, qui recrutent six autres personnes, etc., au bout d’un an, vous aurez accumulé, à temps partiel, un revenu de près de 100 000 $ et vous superviserez un réseau de près de 1 000 collaborateurs qui vendront, chacun, jusqu’à 100 $ par mois. Voilà le principe du levier. C’est un principe basé sur l’entraide et la coopération que je désignerais comme de la collaboration altruiste.
La répartition des bénéfices
Si je vous demandais: <<Selon vous, qui participe aux bénéfices d’un commerce traditionnel?>> Vous me répondriez probablement sans hésitation: <<Le propriétaire du commerce.>> Or, dans le cas des produits de beauté, la réponse devrait être: le propriétaire de l’usine, le transporteur, le propriétaire de l’entrepôt et du magasin. En effet, les bénéfices sont souvent partagés avec quelqu’un d’autre, à savoir le propriétaire du bureau des ventes ou un agent exclusif des ventes qui s’occupe des débouchés pour un produit donné. Tous ces profits bruts sont la première composante du prix de vente d’une crème, d’un rouge à lèvres ou d’une savonnette achetés en magasin. La seconde composante est le coût de distribution des produits. Celui-ci comprend les frais d’entreposage, le salaire des employés, le loyer, la dépréciation, les articles invendus, le vol, avec en tête de liste, le coût de la publicité. Ces deux composantes, c’est ce qu’on appelle les frais généraux.
Si le responsable d’un commerce élimine la majorité des liens de la chaîne de distribution, il réduit ses coûts au minimum. C’est ce qui se produit avec le marketing par réseaux. Il est évidemment impossible d’éliminer tous les coûts. On ne peut se passer ni du transport, ni de l’entreposage dans différents centres de distribution régionaux, ni d’un minimum de frais d’administration. Toutefois, en éliminant les intermédiaires, les propriétaires de ces commerces vont économiser environ 60% à 70% du prix de vente du produit. Les distributeurs prennent sous leur responsabilité d’acheter et de faire la démonstration des produits, d’en faire la publicité, de vendre et de recruter d’autres distributeurs dans le réseau qu’ils ont créé. C’est ainsi qu’ils participent à faire économiser de l’argent conformément aux règlements établis par la société.
Une partie des bénéfices du distributeur est incluse dans le prix des produits qu’il achète de cette entreprise. Ce prix est inférieur de 20% à 30% du prix de vente proposé. Donc, une des composantes de son revenu est l’épargne (lorsqu’il achète le produit pour son usage personnel) ou le profit de la revente.
La deuxième composante du bénéfice du distributeur, et peut-être la plus importante, est la prime sur le chiffre d’affaires dans chaque réseau sous forme de bonis mensuel et annuel, autos et voyages. Cette prime se calcule non seulement sur son propre chiffre d’affaires, mais aussi sur celui du réseau qu’il a créé. Ce réseau est formé d’autres distributeurs, qui fonctionnent selon le même code légal de déontologie et qui sont partenaires entre eux.
Chaque distributeur représente un commerce indépendant et autonome. Dans le marketing de réseaux, il n’y a ni surveillant, ni employé, ni gérant pour vous encadrer. Vous êtes votre propre patron. Chaque membre du réseau bénéficie des mêmes avantages: un siège social avec ses produits, son plan de marketing, son système de soutien, d’éducation et de sécurité. Les membres commencent tous au même niveau. Ce qui ne requiert ni investissement, ni expérience, ni connaissances particulières. Chacun a donc les mêmes chances de gagner autant d’argent qu’il en est capable. Les revenus générés par le marketing de réseaux (MMN*) sont sans limites, tout autant que le territoire ou les heures de travail. Ce sont les distributeurs eux-mêmes qui établissent leurs limites. En plus des deux sources de revenus mentionnées pour les distributeurs, il existe d’autres primes et récompenses. Chaque société les établit à l’intérieur de son système particulier.**
**(Janusz Szajna, “Le marketing de réseaux”, un mode de vie, éditions Un monde différent, 1998, 168p.)
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